À LA UNE 

ARTISTE ET HOMME D’AFFAIRES: KASPER  LANCE UNE PLATEFORME DE VENTE DIGITALE EFFICACE!

Une toute nouvelle plateforme Québécoise de vente digitale est née aujourd’hui sur le site LE JOURNAL DU HIP-HOP (JDHH). L’investigateur de ce grand projet est nul autre que Ritchy Bouzi alias Kasper, une étoile montante du mouvement Hip-Hop francophone. Après avoir analysé le système de vente digitale du JDHH, My Urban Map en est venu à la conclusion que le projet est ingénieux. Ce qui rend la plateforme attrayante c’est que les artistes n’ont pas besoin d’être en contact direct avec l’équipe de gestionnaire du contenu pour connaître l’évolution des ventes de leurs produits comme par exemple leurs Albums, EP, Mixtapes et Singles. Le système les tiendra informés de toutes les ventes qui ont été effectuées et ce 24h sur 24, 7 jours sur 7. De plus, le service n’est pas uniquement offert aux MC’s mais aussi aux Dj’s et Maisons de Disque qu’elles soient majeures ou indépendantes. Tout ce qu’ils ont à faire c’est de s’inscrire, ajouter leurs produits, en informer leur fanbase et récolter les profits. C’est ce qui d’après nous, différencie largement JDHH des autres médias Hip-Hop.

Aujourd’hui, My Urban Map a voulu connaître le côté entrepreneur de Mr Bouzi et surtout qu’il nous parle de sa toute nouvelle plateforme et de ses attentes vis-a-vis celle-ci.

Tout d’abord, parle-nous de ta plateforme, quels sont les services offerts?

K.: JDHH offre de tout. C’est un mélange de Worldstardhiphop, Datpiff et iTunes. L’idée de la vente digitale nous est venue récemment et on a pas tardé à offrir le service.

Comment est née cette idée et depuis combien de temps as-tu travaillé sur l’idée ?

K.: Un proche de la famille m’a proposé d’offrir ce service pour les artistes et j’ai trouvé que l’idée était géniale. On a donc travaillé sur cette idée durant plusieurs semaines.

Quand on regarde le marché du Disque au Québec, on a plutôt l’impression qu’il est en déclin, petite population, plus d’artistes, moins de consommateurs. Crois-tu qu’en ayant une plateforme comme la tienne, il y aura plus de ventes et donc plus de revenus pour les artistes indépendants ? 

K.: Je crois que l’on vit dans une époque ou tout bouge vite, même trop vite. Ce qui veut dire que les consommateurs n’ont pas de patience. Ils veulent tout avoir et tout de suite. C’est fini l’époque où les rappeurs vendaient leur cd’s sur le coin de la rue. Maintenant tout se fait à partir de la maison.  En offrant ce service, ça facilitera la tâche pour les artistes qui souhaitent vendre leur produit et aussi pour les fans qui souhaitent acheter rapidement . Si notre plateforme peut aider les artistes à vendre plus de disques alors ça sera mission accomplie.

Est-ce que le passage d’artiste à entrepreneur a été une étape plus facile pour toi ou non, explique nous pourquoi ?

K.: Rien n’est facile dans la vie. J’ai toujours été quelqu’un d’ambitieux, je crois que c’est la raison pourquoi j’aime développer et créer. C’est dur de faire sa place dans un domaine aussi contingenté que le showbiz mais je crois sincèrement qu’il n’y a pas de manque de richesse dans ce monde, seulement un manque de personnes prêtes à faire les sacrifices pour atteindre leurs objectifs.

Tu es dans le milieu de la musique depuis plusieurs années, nous dirais-tu ce que les artistes urbain ont le plus besoin au Québec ?

K.: Un seul mot à retenir et ce mot est ORGANISATION. Beaucoup d’artistes ont le talent et la volonté mais peu d’entre-eux sont organisés et ça c’est un gros problème.

Pour les gens qui souhaitent acheter sur la plateforme, est-ce qu’ils devront s’enregistrer sur le site, comment cela va fonctionner pour eux ? 

K.: Les gens doivent s’inscrire en tant que membre de base et ensuite ils peuvent acheter ce qu’ils veulent dans l’onglet La Boutique. 

Penses-tu qu’avec ta plateforme et les services offerts, cela pourra aider les artistes à mieux s’autogérer ? 

K.: Je l’espère! Seulement le temps nous le dira.

Si aujourd’hui, un artiste veut s’inscrire sur ta nouvelle plateforme quelles sont les étapes à suivre ?

K.: Les étapes d’inscription sont les mêmes que n’importe quelles autres plateformes. Le seul truc qui est un peu différent c’est que les artistes doivent envoyer une demande de certification pour être validé en tant que membre officiel. On tient à ce que JDHH soit filtré le plus possible pour vraiment exposer les artistes émergents de qualité.

Finalement, quelles sont tes attentes à long terme avec ce projet ?

K.: Lorsque je lance un projet, je passe immédiatement au prochain. Je ne suis pas du genre à m’asseoir et attendre d’avoir des réactions. Les artistes qui veulent vraiment se faire voir et être rémunéré pour leur travail savent maintenant où aller. C’est à eux de passer à l’action.

Vous pouvez dès maintenant magasiner sur LA BOUTIQUE en ligne du JDHH 

SITE WEB : http://lejournalduhiphop.com/